Le concours [INACTIF]

Voilà que Charlie m'entraine avec lui dans un concours. Un concours d'invention. Ça va ce n'est pas le problème mais que pour conclure les inscriptions notre équipe doit contenir une troisième personne. L'équipe d'en face à l'air balèze en plus. Je crois qu'il y a Yves, Alain et Joseph. Trois vieux schnocks qui pensent que les filles ne sont toujours bien placé que derrière les fourneaux. J'aimerais bien leur montrer le contraire.
C'est après la découverte du concours que Charlie et moi nous nous sommes séparé pour demander aux gens du coin s'ils ne connaissaient pas d'autres inventeurs. Ou s'ils le sont de bien vouloir participer avec nous.

-Bonjour madame. Pouvez-vous me dire où je trouverai un inventeur?
-Euh non... enfin si, vous pouvez en trouver un là-bas.
-En fait c'est là-bas que j'habite. Vous n'en connaîtriez pas d'autre?
-Il y a Yves, Alain, Joseph et une petite rousse comme vous qui s'appelle Ma-quelque chose qui sont des inventeurs; Oh, il y a Roger aussi.
-Merci au revoir.

Cette personne âgée n'est pas d'un très grand secours. Roger ne veut pas faire le concours avec une fille. Et puis je ne m'appelle pas Ma-quelque chose mais Mathilde; ce n'est pas compliqué à retenir Mathilde comme nom. Je vis un jeune homme aux yeux frappants. Il me semble que je les ai déjà vu quelque part. Je m'approchai de lui.

-Bonjour, excusez-moi. Connaîtriez vous un inventeur à part Yves, Roger, Charlie, Alain et Joseph? On doit en trouvez un autre impératif pour participer à un concours, donc si vous connaissez un, vous nous sauverez la vie.

Alek n’aimait pas trop les forts rassemblements de populations et en l’occurrence cet endroit en était un, mais il restait néanmoins car sa curiosité était encore plus forte que sa misanthropie. Un concours d’inventeur était bien ce qui pouvais motiver le jeune homme. De plus c’était ici qu’il avait le plus de chance de rencontrer des personnes de la zone prison. Est-ce que ce serai une bonne ou une mauvaise nouvelle ? Cela resterait à définir si rencontre il y avait. Toujours était-il qu’ici il pourrait aussi rencontrer des collègues. Un détail attira alors son attention, une jeune femme à la chevelure rousse qui arpentait la foule en interrogeant diverses personnes. Elle lui rappelait bien quelque chose mais il n’aurait vraiment su dire quoi. Celle-ci s’approcha alors de lui.

-Bonjour, excusez-moi. Connaîtriez-vous un inventeur à part Yves, Roger, Charlie, Alain et Joseph? On doit en trouvez un autre impératif pour participer à un concours, donc si vous connaissez un, vous nous sauverez la vie.

Un petit sourire se peint sur les lèvres du brun et il répondit d’un ton assez enthousiaste.

-vous sauvez la vie je ne crois pas, néanmoins même si je ne connais aucune de ces personne, il se trouve que j’en suis un moi-même et je me ferai une joie de vous aider.

Finalement la situation se présentait plutôt bien, il allait même pouvoir être acteur de cet intéressant spectacle et de plus il pourrait observer deux collègues dans cette tâche. Il s’inclina légèrement avant de continuer.

-Aleksender Idraïl pour vous servir, ne nous serions nous pas déjà rencontrer au pare avant ?

Si c’était le cas il était presque obligatoire que ce soit en prison mais il ne pouvait pas le
demander directement, il ne pouvait pas encore en être sûr, mais puisque tous ces imbéciles vouais une adoration sans faille à l’esprit il était à peu près certain que les personnes de l’époque moderne était mal vu par les autres. Maintenant il restait à savoir s’il serait là pour remplir les quotas ou s’il serait réellement utile.

- Ah super si vous pouvez participer avec nous.

- Aleksender Idraïl pour vous servir, ne nous seraient nous pas déjà rencontrer auparavant ?

- Enchanté, je suis Mathilde Elwyn. Maintenant que vous le dîtes j'ai aussi l'impression de vous avoir déjà vu. Où était-ce déjà? Je réfléchis quelques secondes et repris. Je me souviens maintenant. On s'est vus en prison. Il me semble que l'on faisait partie des rares qui avaient du mal avec les travaux quotidiens que nous devions faire.

Je m’arrêtai de parler et me souvins de ce souvenir fort peu agréable. Je détournai le regard et vit Charlie.

- Charlie! criai-je en faisant de grands signes de bras. Charlie arriva à notre hauteur je repris. Charlie je te présente Aleksender Idraïl. C'est un inventeur et il veut bien participer avec nous. N'est-ce pas super?

Charlie le toisa avec méfiance.

-C'est une ancienne connaissance, ne t'inquiète pas trop.

- Très bien, enchanté je suis Charlie. Je suppose que tu viens du même endroit que Mathilde. Je sais aussi que c'est un sujet à ne pas à aborder donc ne t'inquiète pas sur ce point-là. Parlons plus boulot. La récompense pour ceux qui gagne c'est une plus grande réputation. On est sûr aussi que plus de clients viendront nous soumettre leur requête donc plus de bénéfices. Mais on fait surtout ça pour le plaisir. Et bien sûr une somme assez importante. Alors es-tu prêt pour cette grande aventure?

- Enchanté, je suis Mathilde Elwyn. Maintenant que vous le dîtes j'ai aussi l'impression de vous avoir déjà vu. Où était-ce déjà? Je me souviens maintenant. On s'est vus en prison. Il me semble que l'on faisait partie des rares qui avaient du mal avec les travaux quotidiens que nous devions faire.

Alek grimaça un peu ce n’était pas vraiment ce dont il voulait se souvenir, en fait, après réflexion il n’y avait pas grand-chose dont il voulait se souvenir, il avait lui-même décider de se débarrasser de tout ce qu’il avait eu d’heureux lorsqu’il était là-bas. De toute évidence c’était la même chose pour sa compagne d’infortune. Celle-ci appela celui qui ferai le concoure avec eux. De toute évidence il était moins emballe qu’elle a l’idée de voir Alek les rejoindre.

Dans tout ce que disait le dénommer Charlie c’était et de très loin la réputation qui tentât le plus Alek. En effet il venait à peine de s’installer et n’avait par conséquent aucune clientèle ni renommé. Bon, il fallait avouer que le reste ne serai pas mal venu non plus car ce qu’il avait réussi à gagner par des procéder plus ou moins réprouver par la morale ne lui permettait guère de payer le loyer de son gourbis de misère. Sa tenue elle était en parfait décalage avec sa condition.

Il lui restait maintenant une grande question. Qu’est-ce que les deux autres projetaient de faire ? Lui-même avait surtout réfléchit à des composant électrique mais c’était loin d’être la technologie la plus utilisée.

- Enchanter de même, pourriez-vous me dire ce que vous envisagiez pour ce concours ?

Après cela il murmura à l’attention de la dénommer Mathilde :

- Et avez-vous recroiser d’autre personne de la prison en dehors, il y en a que j’aimerais beaucoup revoir ?

En soi ce qu’il venait de dire était totalement vrai, il avait juste omis de dire que ceux qu’il cherchait risquaient de ne pas survivre à la rencontre.

- Enchanter de même, pourriez-vous me dire ce que vous envisagiez pour ce concours ? avait-il demandé puis il me chuchota si je connaissais d'autres gens qui étaient sorti de prison.

Je hochai la tête pour dire oui quand Charlie lui répondit.

-Voyez-vous jeune homme je ne peux répondre à votre question ici. Vous savez l'équipe adverse est constituée de savant qui a fait avancer considérablement la science et d'autres choses. Ils ne doutent pas de gagner mais ils savent que nous aurons des bonnes idées et ils n'hésiteront pas à les utiliser. Donc allons à mon atelier pour en parler au calme sans suspecter les gens autour de nous.

Il fit un grand signe de la main pour lui enjoindre à avancer. Sur la route je dis à Aleksender que ne je n'avais rencontré qu'une personne qui venait du même endroit que nous. Charlie se désintéressa de cette conversation car il savait très bien que ça ne le concernait pas. Arrivait devant l'atelier Charlie s'arrêta. Il se retourna et sourit à notre invité. Il ouvrit la porte.

-Bienvenue dans mon repère d'inventeur.

-Notre repère maintenant, lui dis-je en faisant semblant d'être vexé.

-Oui, je sais. C'était pour te taquiner.

Une fois renter Charlie fit asseoir Aleksender sur une chaise.

-Pour le concours nous allons nous pencher sur la machine à vapeur. Enfin l'équipe adverse va s'occuper de ça aussi. Le but de ce concours est d'améliorer la vitesse de la machine. Mathilde et moi avons eu l'idée de s'occuper de la chaudière. Alors quand penses-tu?

La réponse de la jeune femme déçu un peu Alek. Mais il était vrai qu’il ne serai an doute pas facile de retrouver des gens qu’il avait connu lorsqu’il était en prison, ami ou ennemis.il semblait qu’ils ne pouvaient pas parler de leur projet, l’espionnage industriel semblant être monnaie courante. Alek aurait été seul il aurait sans doute tenté la désinformation mais il n'était pas certain que ses alliés du moment ne soit trop fan de ce genre de stratagème que d'aucun aurait pût qualifier de sournois. Il suivit ses deux associés de fortunes jusqu’au laboratoire de ceux-ci, écoutât d’une oreille distraite leurs échanges. Il jeta un coup d’œil à la pièce avant de s’asseoir comme on l’y invitait.

-Pour le concours nous allons nous pencher sur la machine à vapeur. Enfin l'équipe adverse va s'occuper de ça aussi. Le but de ce concours est d'améliorer la vitesse de la machine. Mathilde et moi avons eu l'idée de s'occuper de la chaudière. Alors quand penses-tu?

-en effet ça me semble la meilleur option. J’ai déjà réfléchit un moment sur la question…j’en suis arrivé à deux conviction : il nous faut la forme la plus compacte possible, et la meilleur façon d’améliorer le mode de fonctionnement actuel serai de maintenir la chaudière en elle-même sous la plus basse pression possible. Pour cela j’aurais vu un système à deux chaudières imbriquée. Vous auriez un papier sur lequel je pourrais griffonner ?

Une fois Alek partit sur le sujet des inventions il devenait très dur de le stopper et il s’en rendait un peu copte. Il profitât donc de cette interruption dans le flot de ses paroles et ses pensées pour faire une pause et s’enquérir de l’avis des deux autres. Après tout il était chez eux et seul de plus. Même si après tout on lui avait demandé son avis, c’était donc normal qu’il le donne non ? Il regarda un instant se deux interlocuteur. Sans doute aient ils aussi leur propre avis sur la question et sans doute qu’eux aurai abordé la question différemment.