Présentation du membre Ton petit nom : Lilou. - Haaaaan c'est trop mign/PAN/
T'es né quand ? Mars 2003 ! Eh oui, j'suis une jeunette. Vous serez gentils d'éviter de manger ^^
Tu es d'où ? Paris
Ta passion : Huhu, vous savez pas dans quoi vous vous embarquez ~ On va écourter tout ça à dessin, graphisme, lecture, équitation. Et si je suis ici c'est que je déteste écrire, vous vous en doutez sûrement, malins que vous êtes.
Présentation du personnage Pseudo : Elisabeth Stienvenart.
Âge : 14 ans
Région (Antique, Médiévale, des Lumières et de l'Industrie, Moderne) : Des Lumières et de l'Industrie, bien sûr.
Es-tu un sorcier/une sorcière ? Moi, une hérétique ? Grand Dieu, non ! Non non non...hihi.
Description : (Passons à la troisième personne, voulez-vous ?) Que dire de notre jeune Elisabeth ? sinon que son mépris envers une grande partie des âmes de ce monde est ancré dans sa gestuelle, plus que dans celle de n'importe quel noble de l'industrie (encore une noble de l'Industrie ouais, mais qu'est-ce que vous voulez, c'est ...classe. Je ferai un DC antique un jour, pour la peine). Elle a le port de tête haut et le visage hautain de sa famille, ni beau ni laid, ensorcelant. Ses parents ont d'étroits liens avec les "Gens modernes", comme ils disent, et se sont peu à peu laissés gagner par l'extravagance de leur mode ; Elisabeth les a imités, et porte avec plaisir les parures qu'on lui présente. Ses yeux sont d'un bleu froid, qui contraste avec la douceur de ses traits, relative à son âge ; ses pommettes n'ont pas encore eu le temps de se ciseler, noyées dans la rondeur de ses joues. Joues d'ailleurs teintées de rouge par une énergie enfantine, qui ne la parcourt pourtant qu'en apparence.
Car Elisabeth fait partie de ces gens qu'on pourrait qualifier de..."morts à l'intérieur"? Ses sentiments furent étrangement gangrenés dès son plus jeune âge, pour finalement être totalement déformés ; par le luxe, l'orgueil, qui sait ? Le fait est qu'il est difficile de lui faire éprouver quoi que ce soit. Une torture diront certains, un don diront d'autres...Elisabeth fait partie de ceux-là. Sa soif de pouvoir est proportionnelle au vide qui l'habite, et la réussite est la seule sensation capable de la faire fondre. Son entourage a pris doucement conscience de cet état particulier ; la plupart s'en tient à distance respectueuse, l'autre se rapproche à l'extrême de la fillette pour gagner ses faveurs. Tisser sa toile, créer des liens et en défaire, c'est la seconde source de satisfaction qui nourrit son petit coeur de pierre. Plaisir pervers certes, mais plaisir tout de même.
Histoire : Résumer la courte vie d'Elisabeth sera on ne peut plus facile, car l'essentiel est encore à venir, bien qu'elle n'ait pas oublié d'exploiter précieusement ses quatorze années d'existence sur Espoir. Un beau poupon, puis une jolie petite fille, éduquée dans le mépris de plus petit que soi, et ce durant les six premières année de sa vie ; cette unique phrase suffit à décrire la plus tendre enfance d'Elisabeth. Puis vinrent ses sept ans, l'âge de raison. À cette âge-là, son étrange maladie intérieure avait fini de la ronger, aussi fut-ce solidement armée que la petite fit son entrée dans le monde mondain de ses parents. Elle y découvrit un univers peuplé de riches porte-monnaies ambulants, qui caressa sa soif d'ascension dans le sens du poil comme jamais rien ne l'avait fait jusqu'alors. Quelques-uns la percèrent à jours et se contentèrent de limiter leurs interactions avec Elisabeth à de vagues sourires crispés ; la petite ne leur en tint pas rigueur, elle avait l'intention de faire des ravages et ne pouvait qu'être impressionnée par ceux qui s'en rendaient compte si tôt.
C'est alors que débarqua son pouvoir - car Elisabeth est sorcière, bien qu'elle refuse d'être qualifiée ainsi. Elle sait semer une légère graine de folie dans l'esprit de ceux qui s'opposent à elle, pour peu qu'il y ait un contact physique en elle et sa cible. Ce peut être un simple fou-rire comme une voix douloureuse qui murmure sans cesse à l'oreille, dont on ne se débarrasse jamais vraiment ; il existe autant de possibilités que de degrés à sa colère, dernière émotion capable de l'habiter. Les trois années qui suivirent la découverte de son don se déroulèrent sans encombre, et ravirent la jeune fille qu'elle était en train de devenir. Puis tout s'accéléra, quand un de ses oncles, qui entretenait des liens avec les gueux du Moyen-Âge, la dénonça à l'inquisition de la région médiévale comme la sorcière la plus nocive qu'ait porté Espoir - inutile de vous dire comment il a fini. L'inquisition vint l'arrêter chez elle, à la grande surprise de tous ; il était rare de voir des habitants de la région quitter l'enceinte de leurs fortifications, encore moins pour nuire directement aux espoiriens. Elisabeth le prit étonnamment bien, et son oncle fut au final la seule victime de son arrestation. Elle suivit les inquisiteurs sans faire d'histoire, intimant à ses parents de ne rien faire et insistant pour rencontrer leur plus haut gradé ; eux-même sont incapables de dire si, après leur long voyage en train, ils conduisirent la petite sorcière au bureau de leur supérieur de leur plein gré ou non...Toujours est-il qu'elle échangea avec lui longtemps, et que l'entretien fini, Elisabeth faisait partie des inquisiteurs.
La fillette lui avait promis d'éliminer tous les sorciers, puis de se donner la mort une fois sa tâche accomplie ; et le pauvre imbécile, à la fois révulsé et fasciné par son don, y avait cru. Il lui avait accordé son sursis.
Durant une courte période, Elisabeth fut formée au métier d'inquisitrice au sein de la région médiévale. Elle se découvrit un intérêt particulier pour les armes blanches, mais rien qui ne puisse égaler son besoin constant de manipuler. La jeune fille persuada donc rapidement les inquisiteurs de la renvoyer chez elle, où elle continua d'exercer. Ce fut une bien sombre période pour les hautes familles de l'Industrie, dont les membres sorciers tombaient comme des mouches, ou allaient se jeter dans la gueule de l'inquisition, persuadés par une étrange force qu'il devaient passer la frontière médiévale. Ceux qui passaient les fortifications étaient pris par les inquisiteurs, les autres y étaient abattus.
Seule la famille de la petite inquisitrice fut épargnée, et gagna en puissance sur le dos des autres nobles, dont la main-mise sur les marchés s'étaient retrouvés ébranlée. Une fois ses parents propulsés au plus haut par ses soins, elle retourna auprès du supérieur, insistant cette-fois ci pour poursuivre un sorcier au don particulièrement puissant, qui lui avait échappé, et avait disparu dans la région antique. Le débat fut long, mouvementé, mais elle obtint l'autorisation d'aller à sa guise, indépendamment des inquisiteurs, tant qu'elle promettait de ramener la tête du sorcier dès ce fauteur de trouble hérétique abattu.
C'est dans ce contexte que je débarque sur le fofo, avec une Elisabeth décidée à s'amuser un peu avec tous ces pauvre manants, en attendant qu'un héritage colossal lui tombe tout cuit dans les bras.
Toi et le forum Qu'est-ce que tu penses d'Alibi-RPG ? Alors déjà, c'est du bonbon pour les yeux. Ensuite, c'est difficile pour moi en général de me lancer dans un forum, alors que celui-ci a aspiré mon âme trrrrès rapidement (c'est louche)...donc objectivement, je dirais qu'il retient l'attention, et subjectivement...woaw :3
Les raisons pour lesquelles tu t'es inscrite : J
e suis une merde en histoire, je viens pour réviser mes dates et mes ethnies Je sais pas, j'ai eu un coup de foudre :')
Et, sans indiscrétions, comment as-tu connu ce forum ? C'est très indiscret.
...
Vous avez posté une demande de partenariat sur "le monde de Dùralas", un forum dans lequel je suis bien ancrée. Ça m'attiré l'oeil, j'ai cliqué, j'ai regardé et me voilà.
Assemble les mots-clés du Guide Intégral du Foum et écris la phrase obtenue : CODES VALIDÉS (à un déterminant près èwé) PAR UN TYPE QUI PASSAIT PAR LÀ